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01. Rêver dedans
02. 77 (exploit. Avril Lavigne)
03. Trop amusant
04. John Wayne (exploit. Alison Mosshart)
05. Wildside (exploit. Joan Jett)
06. Les gens que j’aime
07. Donnez le poids
08. Je suis ton héros
09.Toujours dansant

Billy Idol Coupe une figure satisfaite ces jours-ci. Heureux de son rôle dans le cirque Rock ‘n’ Roll, il semble toujours apprécier d’être Biilly Idolque ce soit pour faire face à la durée de vie Sexe de générationréalisant une résidence de Vegas acclamée, ou effectuant un premier concert en direct historique au barrage Hoover. Le seul domaine de sa vie, comme l’une des dernières grandes stars du rock, ce Idole a négligé est sa sortie enregistrée. Compte tenu d’un plus grand nombre de succès robustes pour ses spectacles en direct, il a semblé réticent à s’engager à faire plus que des voyages occasionnels au studio. « Rêve dedans » est son premier album complet en plus d’une décennie, avec seulement deux EP récent, « Le bord de la route » et « La cage »rompant le silence depuis 2014 « Kings & Queens of the Underground ». Comme pour l’album qui l’a précédé (2005 « Duil’s Playground »), « Kings & Queens … » présenté unBilly Idollibéré des attentes musicales d’un ancien âge, et nouvellement reconnecté avec son esprit punk purs et durs. Une partie de cette épitude peut être trouvée sur « Rêve dedans »mais l’ambiance dominante du neuvième album studio de la légende britannique est l’une des acceptation joyeuse. Une collection étonnamment brève d’hymnes de rock radio et brillant, de ballades pop-punk brillantes et de fumée et de fumée, il adopte une approche détendue pour prolonger un noble héritage.

Une trace de feinte d’un ricanement persiste sur Billy Idolla plus grande lèvre tout au long « Rêve dedans »mais c’est toute l’étendue de l’obnoxication de cet album. Le titre d’ouverture est un rocker poli mais poignant, avec une énorme production et un refrain qui évite à peu près le cliché victoire. En tant que l’un des hommes d’État plus âgés de Punk, Idole peut à peu près s’enfuir avec une aspiration aux yeux brumeux, et sa voix ne manque pas de gravité pour le sauvegarder. De la même manière, « Trop amusant » est une grande indulgence punk idiote et futuriste, avec le grand homme récitant une litanie de malheurs auto-infligés, un scintillement aveuglant dans ses yeux vétérans usés par la route. L’effacement de soi est vraiment attachant (« J’ai écrasé mon vélo… mais je ne suis pas mort! ») Et le morceau lui-même, bien que indéniablement simpliste, a plus que suffisamment de charme pour porter la vanité. Il en va de même pour « Les gens que j’aime ». Premièrement, « Je dois trouver un moyen d’arrêter de faire chier les gens que j’aime! » est un crochet de chœur pour les âges. Deuxièmement, Billy Idol est un vieux codger sauvage, et malgré le ton ironique évident, il chante tout avec une sincérité impassible, suintant le pathos et optant de ne pas se faire clience à la caméra. Encore mieux, son duo avec Alison Mosshart ( Les tueries / / Le temps mort) sur le nom de manière intrigante « John Wayne » est un moment de magie pure. Embelli de synthés scintillants et riches du twang mélancolique de l’Americana cinématographique, de l’attachement angoissé du duo, de leurs voix parfaitement équilibrées, au milieu d’une atmosphère à tête magnifique et d’une avalanche au ralenti de guitares. Steve Stevens«Le solo graveleux est également magnifique.

Autre part, « Donnez le poids » est une rager de New Wave à pied à pied avec des échos de Idole‘s « Rebelle crier » aperçu et un aor exagéré aor; « Je suis ton héros » est un autre croon de feu de camp de ralentissement avec des trous de balles dans son Stetson; et « Toujours dansant » est la redoute parfaite et auto-référentielle des valeurs chères. Un cousin éloigné de« Danser avec moi-même »il mérite d’être un ajout permanent à la liste des ensembles.

Il y a aussi des inconvénients.« 77 » est un manuel,Canal Disney Banger pop-punk. Il a été surproduit à un pouce de sa vie brillante de moins de trois minutes. Présenté comme une chanson sur « Two Generations of Rebellion », c’est un duo avecAvril Lavignequi, avec tout le respect que je vous dois, n’est l’idée de personne d’un dur à cuire. Bizarrement, cela ressemble plus à l’une des chansons du chanteur canadien que l’une desIdole‘s. Selon votre point de vue, ce sera soit un banger en fonte, soit une occasion manquée légèrement grinçante. De même,« Wildside » fait un peu moinsJoan JettLa fraîcheur instinctive qu’elle ne devrait, laissant deux légendes punk à la dérive dans un rock radio sympathique mais curieusement sans odeur. Cela semble dommage.

À ce stade tardif du jeu, personne ne cherche àBilly Idol pour produire un chef-d’œuvre expérimental. Au lieu de cela, il passe un moment fabuleux à faire tout ce qui prend son humeur.« Rêve dedans » est un peu incohérent et légèrement trop désireux de courtiser un public pop, mais comme pour tout ce qui sort de son cerveau de rock star, il est tout à fait impossible de ne pas aimer.

https://www.youtube.com/watch?v=crnnskxvus0