SZA exprime ses regrets pour le lifting brésilien des fesses : "Je suis tellement en colère que j'ai fait ça"

Dans une récente interview avec Vogue britanniqueSZA a franchement exprimé ses regrets d’avoir subi un lifting brésilien des fesses (BBL), une procédure qu’elle a qualifiée de « stupide ». La chanteuse, connue pour son tube « Hit Different », a révélé que le processus de récupération entraînait une prise de poids importante due à l’immobilité et aux efforts déployés pour maintenir la graisse transférée. « Je suis tellement en colère d’avoir fait çat », a-t-elle déclaré, reconnaissant qu’elle avait réalisé que l’amélioration n’était pas nécessaire après coup. « Mais qui s’en foutk? Vous avez un BBL, vous réalisez que vous n’aviez pas besoin de cette merde. Cela n’a pas d’importance ».

Malgré ses regrets concernant la procédure, SZA a affirmé son appréciation pour son corps en disant : « J’aime mes fesses. Ne vous méprenez pas. Mon butin est joli… C’est quelque chose que je voulais. J’en profite. J’adore le secouer » [3][4]. Elle a également réfléchi à l’importance d’aborder sa santé mentale parallèlement aux changements physiques, soulignant que la croissance personnelle est cruciale : « Je dois me concentrer sur ma santé mentale… où que vous alliez, vous serez là.

De plus, SZA a parlé de ses expériences passées en matière de procédures cosmétiques, notamment le retrait d’implants mammaires en raison de problèmes de santé liés à des antécédents familiaux de cancer du sein. Elle a admis avoir ressenti de la douleur due à la fibrose après la pose des implants, mais a reconnu plus tard que ces décisions faisaient partie de son cheminement vers l’acceptation de soi et le bien-être.

Pour l’avenir, SZA a fait allusion à de nouvelles sorties musicales, y compris une version de luxe de son album SOS et un projet de suivi intitulé LANAtous deux devraient disparaître avant la fin de l’automne 2024. Elle a noté que son processus créatif évolue vers une vision plus positive, déclarant : « Je ne m’identifie pas à mon brisement. Ce n’est pas mon identité ».