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Dans une nouvelle interview avec MetalSide.pl, PARADIS PERDU leader Nick Holmes a parlé de l’avancement des sessions d’écriture de chansons pour le suivi de l’album 2020 du groupe « Obsidienne ». Il a déclaré: « Nous travaillons lentement sur un nouvel album. Lorsque nous aurons un temps de congé décent, nous espérons le terminer. Mais nous n’en sommes pas encore là. Alors, espérons-le, l’année prochaine, nous aurons terminé quelque chose. « 

En mai dernier, PARADIS PERDU a révélé qu’il réenregistrait son quatrième album, « Icône », pour une nouvelle version spéciale pour célébrer le 30e anniversaire du LP. Il y aura également une version « un vinyle extra spécial » de l’album.

« Icône » marqué un départ du son de la mort de PARADIS PERDUles premiers travaux de et a été le dernier album à présenter Matthieu Archer à la batterie.

En février 2018, « Icône » a été intronisé au Décibel « Hall Of Fame », le magazine le qualifiant d’influent pour le développement du sous-genre du métal gothique.

PARADIS PERDU se lancera dans le « Brises d’Europe » tournée à l’automne. Le soutien sur le trek viendra de MA FEMME MOURANTE.

En mars dernier, PARADIS PERDU accueilli Guido Zima Montanarini en tant que nouveau batteur officiel.

En septembre dernier, le batteur finlandais Waltteri Vayrynen gauche PARADIS PERDU joindre OPETH. À l’époque, il a publié une déclaration disant que sa décision n’impliquait « absolument aucun mauvais sang ni aucun drame ».

« Obsidienne » est sorti en mai 2020 via Explosion nucléaire.

Formé à Halifax, West Yorkshire, en 1988, PARADIS PERDU étaient des candidats improbables à la gloire du métal lorsqu’ils sont sortis de l’ombre et se sont infiltrés dans l’underground britannique. Mais pas content d’engendrer un sous-genre entier avec un chef-d’œuvre de mort précoce/destin funeste « Gothique » ni à conquérir le courant dominant du métal avec la puissance débordante des années 1995 « Les temps draconiens »ils ont par la suite traversé plusieurs frontières de genre avec habileté et grâce, évoluant à travers la maîtrise du rock alternatif noir comme les classiques des années 1990 « Une seconde » et « Héberger » à la grandeur musclée mais ornée de 2009 « La foi nous divise – La mort nous unit » et « Idole tragique » (2012), avec la finesse nonchalante des grands maîtres. Celui du groupe « La peste intérieure » (2015) et « Méduse » (2017) ont vu un retour très célébré à la pensée brutale de la vieille école, via deux monolithes écrasants vers la mort au ralenti et la défaite spirituelle.

Crédit photo: Anne C. Hirondelle pour Registres des explosions nucléaires