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Ancien TROU et ÉCRASER DES CITROUILLES bassiste Melissa Auf Der Maur va libérer « Même les bonnes filles pleureront : un mémoire rock des années 90 » le 17 mars 2026 via Da Capo, une empreinte de Éditions Grand Central.

« Même les bonnes filles pleureront » commence par Auf Der MaurSon éducation bohème à Montréal, où son lien profond et précoce avec l’art et la musique lui a permis d’accéder à la scène créative locale colorée et florissante. Travaillant comme DJ de cassettes et billeteuse, elle voyait (et rencontrait parfois) les sommités qui passaient par la ville – NIRVANA, LA DÉPENDANCE DE JANE, CHAUSSÉE, JEUNESSE SONIQUE. Grâce à une bouteille de bière jetée et à une longue lettre de fan envoyée à une boîte postale, son groupe BRICOLER a marqué une place d’ouverture qui a changé la vie de LES CITROUILLES ÉCRASANTES et, sentant son talent naturel à la basse, Billy Corgan lui a recommandé de Courtney Amourjuste l’un des nombreux fils étranges qui tissent le destin tout au long de ces mémoires captivantes.

Sortie de sa scène locale et jetée dans l’œil d’un ouragan de chagrin sur la scène mondiale, Mélisse rejoint TROU pour le groupe en 1994 « Vivre à travers ça » tournée mondiale juste après la mort de Kurt Cobain et TROUl’ancien bassiste de, Kristen Pfaffavec Courtney Amour au centre de tout. Ce fut une tournée d’une intensité passionnée, alors qu’un groupe chaotique mais incroyablement puissant menaçait constamment de devenir incontrôlable. Mélisse entraîne le lecteur avec une intimité déchaînée dans l’action, offrant un portrait héroïque de l’inoubliable Courtney Amour alors qu’elle hurlait dans l’obscurité comme pour garder le chagrin à distance.

Ce n’était que le début de Mélissele voyage à travers le rock alternatif. Nous avons également droit à des rencontres et des portraits inoubliables d’autres icônes et sommités de l’époque, comme Michael Stipe, Marilyn Manson, Dave Grohl, Rufus Wainwright, Drew Barrymore et plus encore. Photographe accompli, Mélisse a catalogué cette époque, et plus de 50 de ses superbes photos inédites complètent le récit. Et elle raconte la fin brutale de l’ère grunge après le 11 septembre lorsque, apparemment du jour au lendemain, un nouvel état d’esprit beaucoup moins communautaire et beaucoup plus agressif a envahi le pays, un assombrissement qui ne s’est pas encore atténué.

En chemin, Mélisse accumule expérience et sagesse, devenant une musicienne de tournée chevronnée et développant une clarté qui lui permet de s’éloigner de tout et de choisir une vie différente pour elle-même, même si ses talents (et son esprit) étaient toujours très demandés. En partie mémoire rock, en partie journal de voyage, en partie album psychédélique, « Même les bonnes filles pleureront » est un mémoire rock’n’roll en coulisses avec une intimité émouvante et une nuance mystique qui le distingue des mémoires de ses pairs. Il s’agit d’un envoi vivant de la dernière décennie analogique, capturant artistiquement cette époque révolue dans toute sa splendeur désordonnée et angoissante.

En 2010 Mélisse co-fondé Basilique d’Hudsonun centre d’art multidisciplinaire à Hudson, New York, où elle vit avec sa famille et ses chats magiques.