L'équipe juridique de Madonna a riposté suite à un recours collectif contre la chanteuse.
Les avocats de la diva de la pop ont qualifié cette plainte, qui porte sur l'arrivée tardive de Madonna sur scène lors de ses concerts, de « campagne de harcèlement » et voudraient qu'il soit clair qu'ils n'ont accepté aucun règlement avec les plaignants.
La semaine dernière, les représentants légaux du camp de Madonna ont répondu au recours collectif, amenant les plaignants, Michael Fellows et Jason Alvarez, à affirmer qu'ils avaient conclu un accord de règlement avec la chanteuse de Material Girl.
Aujourd'hui, le représentant légal de Madonna, 65 ans, a demandé à un juge d'annuler un avis de règlement déposé par l'avocat du plaignant. Bien qu'ils aient reconnu avoir été en pourparlers avec les représentants juridiques des plaignants, ils ont fait valoir que l'avis de règlement était faux, le qualifiant de « campagne de harcèlement » et de tentative d'obtenir un salaire.
Le juge a accepté la demande de l'avocat de Madonna, précisant qu'aucun règlement n'avait été trouvé, ce qui signifie que l'affaire allait continuer.
Le principal argument de Madonna contre le procès est que les vrais fans sauraient qu'elle est souvent en retard pour apparaître sur scène.
« Si un fan est suffisamment familier avec l'histoire des concerts de Madonna pour savoir que ses performances durent deux heures et quinze minutes, il saura sûrement que Madonna monte généralement sur scène bien après l'heure de l'événement (après un acte d'ouverture, une transition définie et ainsi de suite) et joue jusque tard dans la nuit », ont-ils écrit en réponse à la réclamation initiale.