Le rappeur de rotule "Mo Chara" libéré sous caution au milieu de la terreur

Liam Óg Ó Hannaidh, connu des fans sous le nom de « Mo Chara » de la rotule de sensation hip-hop en langue irlandaise, a été libéré sous caution inconditionnelle après avoir comparu devant le tribunal de magistrat de Westminster aujourd’hui sur une accusation liée au terrorisme rapporte que la BBC. Le rappeur de 27 ans est accusé d’avoir affiché un drapeau à l’appui de l’organisation proscrite, Hezbollah, lors d’une récente performance à Londres.

Ó Hannaidh est arrivé à la cour accompagnée de ses camarades de groupe, Móglaí Bap (Naoise Ó Cairealláin) et DJ Próvaí (JJ Ó Dochartaigh), à une démonstration de la solidarité des supporters qui ont applaudi leur comparution devant le tribunal de Londres. « Nous refusons cette » infraction « et nous défendons avec véhémence », a déclaré le groupe dans un article sur les réseaux sociaux en mai, un sentiment faisant écho à leurs t-shirts « MO Chara » gratuits portés au tribunal aujourd’hui.

La salle d’audience a été emballée, avec des sièges supplémentaires apportés pour la presse, mettant en évidence l’intérêt public important dans l’affaire. À l’extérieur, une foule diversifiée de musiciens, de militants et de fans se sont réunis, affichant des bannières de « liberté d’expression, de Palestine libres », un mélange de drapeaux palestiniens et knoceecap, et même en applaudissant une camionnette arborant le slogan provocateur « plus de noirs, plus de chiens, plus irlandais, MO Chara » – une touche déficiente sur une phrase historique discriminatoire.

Le magistrat en chef Paul Goldspring a ordonné à Ó Hannaidh d’assister à la prochaine audience, prévue le 20 août. Malgré la nature grave de l’accusation, la libération du rappeur sur la caution inconditionnelle signale un moment de relief pour le groupe et leur suivi dévoué, qui aurait « plâtré » Londres avec des messages de soutien à Mo Chara. L’affaire continue d’attirer une attention considérable, soulignant l’intersection de la musique, de l’activisme et de la liberté d’expression.