CROBOT a sorti une nouvelle chanson, « Un pistolet sur la tête ». Le morceau est le premier single du sixième album à venir du groupe de hard rock de Pennsylvanie, dont les détails seront annoncés prochainement.
« Un pistolet sur la tête » marque le premier enregistrement de CROBOTla nouvelle section rythmique de composée de frères Willie Jansen (basse, chant) et Nicolas Jansen (batterie, percussions).
Il y a une sorte de folie particulière qui se produit lorsqu’un groupe revient à ses racines – cette prise de conscience folle que ce que vous poursuiviez était derrière vous tout le temps. CROBOT sont là en ce moment, regardant la bête qu’ils ont construite, souriant à travers la fumée.
Brandon Yeagley prêche toujours son évangile derrière le micro comme un chaman de ruelle avec un harmonica dans son étui pour la ponctuation. Christophe Évêque reste le conjurateur de riffs – un son imbibé de graisse de moteur et d’huile de serpent, comme si la guitare elle-même tentait d’échapper à la chanson. Et avec l’arrivée de Willie et Nicolasle pouls du groupe a recommencé à paraître carrément dangereux – épais, swinguant et impossible à simuler.
Tous les groupes affirment qu’ils « reviennent à leurs racines ». La plupart d’entre eux veulent dire qu’ils sont à court d’idées. CROBOT ça veut dire comme un serment de sang. Ils ont tout dépouillé jusqu’aux muscles et à la moelle, redécouvrant cette sainte intersection où SABBAT NOIRle poids est conforme FUNKADELIQUE‘s freak, où le fanfaronnade de CLUTCH serre la main dans le « Sang, sucre, sexe, magie » époque de PIMENTS ROUGES CHILI. Ce n’est pas de la nostalgie, c’est de la résurrection. Les dernières années ont mis fin à bien des prétentions. Ce qui reste, c’est un groupe qui a réappris à respirer, à groover à nouveau, à faire confiance à la saleté sous ses bottes. Ils ont traversé l’industrie, les tranchées des tournées, les pièges de l’ego et les guerres intérieures – et d’une manière ou d’une autre, ils en sont ressortis avec un sourire plus large, des riffs plus durs et un son plus vivant qu’ils ne l’ont fait depuis une décennie.
Cette renaissance rugit pour prendre vie « Un pistolet sur la tête »le premier coup de feu tiré de leur prochain album. C’est CROBOT à leur état le plus non filtré – lourd en crochets, imprégné de groove et épais avec le genre de fanfaronnade qui fait transpirer les amplis. Le refrain de la chanson oscille comme un pendule entre l’abandon et le salut, le son de quatre musiciens testant leurs propres limites et trouvant la liberté de l’autre côté. Il ne s’agit pas de violence, mais de la pression de la transformation, du va-et-vient entre l’amour, la vérité et le genre de douleur qui vous oblige à évoluer.
« Parfois, on est obligé de prendre du recul et de réfléchir à ce qui compte vraiment », explique Yeagley. « Chaque note a une raison, chaque mot un but. Nous gravons quelque chose de sang dans le CROBOT discographie – et « Un pistolet sur ma tête » c’était le meilleur avant-goût de ce qui allait arriver. »
CROBOT a lancé une tournée en tête d’affiche avec LA CIRE DE BITCHWAX ATOMIQUE le 24 octobre. Le « Bâtards du Saint Riff » la tournée qui a débuté se terminera le 23 novembre au Milkboy à Philadelphie, en Pennsylvanie.
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