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1 et 1 L’épée et la croix
2 Un monde meilleur
3 et 3 Neuromancer
4 Le marteau-piqueur
5 À travers un verre, sombre
6. Frapper du ciel
7 Cage d’air
8 Le dernier de mon genre

Revival Thrash est vraiment devenu incontrôlable à la fin des années 2000. Un nouveau groupe inspiré par EXCITATEUR et RASOIR émergé quotidiennement des boiseries, la plupart ayant un peu plus à offrir qu’un pur hommage et un riff et un vol esthétique. (Et un approvisionnement sans fin de vestes en jean et de ceintures de balles.) Caché quelque part dans le chaos était le groupe du sud de la Californie Warbringerdont les débuts en 2008 « Guerre sans fin » était adéquat et dont le suivi 2009 « Se réveiller dans les cauchemars » a joué beaucoup mieux. Bien qu’ils n’aient jamais tout à fait passé à l’échelle suivante de l’échelle de thrash imaginaire, il est raisonnable de dire qu’aucun des groupes avec lesquels ils ont commencé n’ont non plus.

Toujours, Warbringer a eu plus de pouvoir que certains de leurs pairs. Une grande partie de cela revient au chanteur John Kevilldont la voix imbibée d’acide et vitriol est toujours sur l’attaque. Il est soutenu par la secousse occasionnelle des extrémités, améliorée par des pannes intelligentes et bien exécutées (voir: Mosh Parts) que toute bande de thrash qui vaut son sel sait déployer. En outre, Warbringer Ne s’est jamais tout à fait compartimenté en jouant à Pizza Thrash, à un thrash amusant ou à un thrash technique. Quel que soit le type de thrash Warbringer est, le fil de Stout des années 2020 « Armes de demain » continue sur leur septième album studio, « Colère et ruine ».

Ça vaut la peine de commencer Kevill. Ses voix méchantes et mordantes délivrent une assaut continu, entrelacée avec des motifs intelligents et des paroles opportunes (par exemple, « Un monde meilleur ») tout en plongeant dans le mode dur Kreator‘s Mille Petrozza faveurs (comme dans « À travers un verre, sombre »). Kevill est peut-être moins un chanteur de thrash qu’une gorge en métal extrême de bonne foi qui connaît sa place, et est prêt à prendre en charge si nécessaire, en particulier en menant le mosh « Le marteau ». Par-dessus tout, il reste la meilleure chose à propos Warbringer.

Warbringer continue de se balancer entre les thrash américains et européens, incorporant de gros grooves sur « Neuromancer » aux côtés d’éléments harmoniques sur « Cage d’air »qui présente un arrangement acoustique. Cette intensité est évidente dans « Strike du ciel »un quasi-Tribut aux légendes de thrash allemandes DESTRUCTION. (Points bonus à Kevill pour son stellaire Schmier impression aussi.) Tout se termine avec « Le dernier de mon genre »qui se termine dans une rafale de riffing agile et un dernier cri de Kevill.

Peut-être que le chemin de la moindre résistance pour toute bande de troisième ou quatrième génération est de reconnaître qu’il n’y a aucun moyen d’améliorer l’article original et authentique. Warbringer semble comprendre cela en jouant à ses forces (Kevill) et s’appuyer sur Songcraft qui chevauche de nombreuses lignes à la fois sans jamais oublier que Mosh est roi. Encore plus sagement, Warbringer gardé l’ordre de fonctionnement « Colère et ruine » à huit chansons. D’autres bandes de thrash qui ont survécu à la fin des années 2000 devraient en prendre note.

https://www.youtube.com/watch?v=R22VRFJMQ4S
Warbringer