01. Porte sans retour
02. Freedom Jazz Dance
03. Bonjour à tous
04. La hantise
05. Paradoxe du Bronx
06. Ou nœud
07. Envie de vivre
08. Politicien
09. Bravo noir cinq
10 Beau salaud
11 Méditation de la dernière fois que j’ai vu Arthur Rhames
12 Ma petite fille zoulou
13 En effigie
14 Brave nouveau monde
Mieux connu comme membre de Couleur vivante, Vernon Reid a toujours été un joueur d’équipe. Au cours de sa longue carrière, le guitariste basé à New York a collaboré avec à peu près tous ceux qui ont traversé son chemin, du vénéré de guitariste de jazz Bill Frisell (sur les années 1984 « Smash et diffusion ») à un maestro de platine estimé DJ Logic (Sur les deux albums complets du duo comme Brothers Yohimbe). Même ses efforts en solo à ce jour ont eu un avantage solide et collaboratif. Deux albums précédents enregistrés avec un groupe de soutien MASCARADE a exploré avec enthousiasme le monde du jazz fusion, avec Reid dans le rôle-titre, mais ne dépassant jamais ses camarades de groupe. Entre-temps, Couleur vivante ne montre aucun signe de raccrocher leurs bottes à bascule et doit être due à un autre record de studio dans un avenir proche. Mais tel est la nature dominante de Reidla vie musicale qui « Télémétrie Hoodoo » vient comme quelque chose d’une surprise. Un disque solo de bonne foi, bien que bien peuplé par ses innombrables et divers associés, c’est sans doute le premier aperçu clair du type de musique qu’il fait lorsqu’il n’est pas obligé de faire des compromis.
En fait, Vernon Reid est tout aussi agité et curieux qu’un artiste solo que dans les mèche avec les autres. « Télémétrie Hoodoo » est une joie aux multiples facettes du début à la fin, avec des expériences de rock, de jazz, d’âme et d’avant-garde toutes remplies dans son temps de fonctionnement de 67 minutes. Bizarrement, tout va magnifiquement ensemble, dégageant de la joie dans le processus même de faire de la musique à chaque tour. Ça commence par « Porte sans retour »: une belle vitrine pour ReidLe jeu fluide et imprévisible et un groove net et dubby pour faciliter les auditeurs dans son monde musical multiforme. Suivant, « Freedom Jazz Dance » sktters à travers un labyrinthe fou de Zappa-Le angularité du rock jazz, sous-tendu par un rythme infectieux et syncopé et parsemé d’éclats de bruit de guitare kamikaze. En contraste sauvage avec les deux chansons qui la précèdent, « Bonjour à tous » est tendu, funky et pourtant onirique et désorientant, comme des éclats de voix d’âme meurtrie et de la lutte parlée feté pour trouver leur place au milieu de la folie. Le funk légèrement plus conventionnel et insouciant de « The Haunting » prendre des prises« Télémétrie Hoodoo » En bas d’une autre route inattendue, lourde avec des embellissements de guitare frais néo-soul et doucement mélodiques, avant« Paradoxe du Bronx » change encore le jeu, comme sale,P-funk cornes et bouillonnerHammond Organ est entré en collision avec de grands riffs rocheux des années 70 et une action de plateau fiévreuse.
Toute cette créativité libérée et libérée de genre pourrait facilement devenir fatigante dans les mains moins capables, maisReid est tellement apte à tordre la musique à la sienne à son modèle intuitif que les auditeurs n’auront aucune raison de remettre en question ses choix stylistiques. Comme témoignage de la fourniture sans fin de son créateur d’idées intelligentes,« Télémétrie Hoodoo » est difficile à faute. En tant que bande sonore appropriée au chaos sociétal et aux conneries politiques qui menacent actuellement la civilité américaine, il est encore plus difficile de localiser même un seul défaut ici. Qu’il soit perdu à Atonal, Jazz Reverie sur le voyage dub bloqué de« Ou nœud »flottant à travers des vues psychédéliques sur la dérive sirupeuse de« Mourir de vivre »ou se balançant avec l’urgence musculaire sur le blues rocheux déformé de« Politicien »,Reid est un ringmaster superlatif avec un mépris obstiné pour se conformer aux préférences de quelqu’un d’autre.« Black Fathom Five » est une folie crossover électro-rock granuleuse;« Beau salaud » est une ballade exquise et astucieuse; et« La méditation les dernières fois que j’ai vu Arthur Rhames » est un Berserk, avant-rock libre pour tous, avec certains des œuvres de guitare les plus dérangées de mémoire récente.« Télémétrie Hoodoo » est agité et sauvage, mais aussi absurdement divertissant et multidimensionnel. Ceux qui peuvent cliquer avec son métronome intérieur constateront que toute la vie humaine est ici. Un travail extraordinaire d’un vrai Maverick.
