BLABBERMOUTH.NET

01. Identité condamnée
02. Une fenêtre sombre
03. Fragilité
04. Éclats
05. Echos silencieux
06. Voix dans le vide (océans astraux)
07. Fragments de psyché
08. Raison refusée

Depuis 2014, HORRIBLE ont été engagés dans une noble entreprise. Fièrement dédié à rendre hommage aux premiers œuvres de Chuck Schuldiner‘s LA MORTcette réunion des esprits à l’ancienne (membres de Excusé et POSSÉDÉ Inclus), il s’agissait toujours de saluer un génie, plutôt que d’une autre plongée paresseuse dans les tropes à l’ancienne. Faire partie de SchuldinerLa magie était que sa musique avait définitivement plusieurs pas d’avance sur le jeu, et tandis que les premiers bangers aiment « Rituel zombie » et « Tirez le bouchon » son primitif par rapport à LA MORTIl fonctionne plus tard, leur éclat prémonitoire reste intouchable. HORRIBLE comprend le bref et se mettre à ce sujet avec un zèle militant. Les deux premiers albums « Terre sauvage » (2015) et suivi « Prières tordues »(2018) savait exactement où la fine ligne entre hommage et pastiche se cachait, et la qualité de l’écriture de chansons de cette formation de vétérans était plus que évidente dès le début: un hommage approprié à Schuldiner en soi.

Et donc à l’album numéro trois, et à la progression explicite de HORRIBLEl’idée originale. Les deux premiers albums étaient des records de death metal à aheads, à Thrall LA MORT albums « Crier sanglant », « Lèpre » et « Guérison spirituelle ». Sur « Échos silencieux »ces purs et durs avoués rendent hommage direct à « Humain »qui par toute métrique saine est l’une des Chuck SchuldinerLes plus grands disques sont les plus grands records, et un album que les mecs de death metal à l’ancienne ont sculptés dans leur âme. HORRIBLE restent inhabituels sur le défi ici, malgré avoir à trouver du matériel qui peut rivaliser avec l’original, qui a été réalisé par Mandrin, Sean Reinert et Paul Masvidal de CYNIQUE et bassiste légendaire Steve Di Giorgio. Aucune pression, alors. Heureusement, il n’y a pas de reste HORRIBLE. Du chanteur Matt HarveyÉcorce scabreuse et parfaite à Drummer Gus Rios‘Approximation exacte de Relierles compétences vertigineuses, tout sur « Échos silencieux » est exactement comme promis.

Ce sont aussi de superbes chansons. « Humain » était un affichage magistral de technicité et de complexité, mais Schuldiner Jamais manqué d’écrire des chansons mémorables. Tout ici, de l’ouverture « Identité condamnée » à la clôture « Raison niée » a le même charisme incisif qui a fait « Machine-suicide » et « Manque de compréhension » si faisant autorité en 1991. Il y a aussi d’innombrables moments qui dégagent un pur plaisir, comme HORRIBLE Restez coincé dans des sections instrumentales noueuses et des détours atmosphériques à travers un territoire progressif. Mais « Échos silencieux » est toujours un record de death metal qui déchire absolument. Des chansons comme « Fragilité » et « Shards » Obtenez l’équilibre entre la sauvagerie et la sophistication exactement, avec une généreuse aide de riffing venimeux directement des voûtes à l’ancienne.

Il y a quelque chose d’immensément agréable HORRIBLEl’attention des détails. L’un des points forts de LA MORTLe quatrième album était« Mer cosmique »: Une tournée instrumentale complexe qui doit sûrement avoir donné à lui seul un sous-genre ou deux, il y a 34 ans. Sur« Échos silencieux »,« Voix dans le vide (océans astraux) » remplit le même rôle. En plus d’être une performance d’ensemble éblouissante, ses rebondissements et ses virages adaptés à un progressent presque aussi audacieux et exploratoires que« Mer cosmique » était pourLA MORT. Autant que toute cette entreprise a de la nostalgie dans ses veines,HORRIBLEL’approche deLA MORT Les instincts progressistes de la légende que pour tout besoin persistant de réchauffer l’ancien temps. C’est le death metal de haut niveau, tout commeMandrin destiné.