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01. Mort ou mourant
02. Montrez-leur votre pouvoir
03. Liste des mensonges
04. Vénération
05. Non Défaut
06. Ma vénération
07. Mort et parti
08. Sourire tordu
09. Brûlure du ciel
10. Que son nom soit sanctifié
11. Mensonges numériques
12. J’ai volé ton amour (BAISER couverture)
13. Trou dans le ciel (SABBAT NOIR couverture)

La suite de celle très appréciée de l’année dernière « Atteindre les étoiles » début, « Ma vénération » suggère que Dan Lorenzo (ENFERS / ROI CASSIUS / VAISSEAU DE LUMIÈRE) et Johnny Kelly (TYPE O NEGATIF / DANZIG) deviennent une source très fiable de métal sombre, granuleux et imprévisible. PATRIARCHES EN NOIR sont un groupe de stoner/doom à bien des égards, mais grâce à un casting tournant de chanteurs et d’autres contributeurs, cela évite tous les pièges génériques habituels.

Le gouffre apparemment sans fond de grands riffs de Lorenzo a été creusé à nouveau ici avec enthousiasme, mais avec des artistes comme Karl Agell (ex-COC / LEADER DE FOOT),&nbsp Marc Soleil (UNIDA) et, glorieusement, Darrell « DMC » McDaniels depuis réel& nbsp EXÉCUTER DMC sauter pour jeter le chant, « Ma vénération » est clairement trop diversifié et inventif pour être rejeté comme un culte allègrement traditionnel du riff. Au lieu de cela, cela ressemble à Laurent et Kelly ont passé des moments inoubliables en studio, tout en jouant du matériel souvent noir et sombre.

Beaucoup d’entre eux établissent un équilibre judicieux entre le tonnerre du stoner rock et le hard rock se pavanant et abrasif, mais il y a aussi de la variété et une douce subversion en jeu ici.

« Mort ou mourant » est PATRIARCHES EN NOIRLe son principal de en un mot brûlant. Avec des riffs doom géants, une voix soul et belliqueuse de Agelet KellyC’est une batterie groovy sans effort, cela ressemble à une classe de maître. « Montre-leur ton pouvoir » accélère le tempo et accueille Soleil au micro pour un jam plus résolument optimiste et proche du stoner. « Liste des mensonges » salue discrètement ALICE ENCHAÎNÉEmais c’est un état d’esprit troublé à New York qui émane de KellyC’est un groove sale, lent et déformé SABBAT des riffs qui Laurent se déverse sur des backbeats boueux, teintés de hip-hop et un son lobotomisé, « Maître de la réalité » piétiner. Pour renforcer cette ambiance new-yorkaise, DMCAllumons l’excentrique « Vénération » est impassible, sobre et visiblement énervé. Sur un collage de riffs tranchants, de violons plaintifs et de tempos malléables, la légendaire icône du rap fait ce qu’il fait, et c’est toujours aussi classe que l’enfer.

Ajouter encore plus de nuances au PARTRIARCHES‘palette, « Non Défaut » est un monstre de riff-rock qui déborde d’énergie punk et la chanson titre est un blues concret sanglant avec des connotations macabres et gothiques. Autre part, « Mort et enterré » est la roche du désert de la côte Est à son meilleur (que cela ait un sens géographique ou non !),&nbsp « Le ciel brûle » est un sale beat-’em-up de biker rock, et « Mensonges numériques » des claquements et des pavanes avec une intention sombre et funky. Une reprise enflammée de BAISERc’est « J’ai volé ton amour » et une aventure festive à travers « Trou dans le ciel » (SABBAT NOIR) sont des bonus doux et joyeux. Le riff, comme toujours, restera.